THÈME: RELATION ENTRE L’EVOLUTION DU STATUT DE LA FEMME ESPAGNOLE CONTEMPORAINE ET SA PLACE DANS L’OPUS DEI ( A PARTIR DE LA SECONDE RÉPUBLIQUE).
Mimbuih M’Ella Clarisse donne à lire la
« Relation entre l’évolution du statut de la femme espagnole contemporaine
et sa place dans l’Opus Dei. Elle introduit que c’est par curiosité qu’elle
arrive à cette étude. Tout au long des quelques trois cent pages qui
constituent son étude, Clarisse Mimbuih, dans un premier temps, va restituer/
resituer ( contexte) la femme espagnole dans deux périodes historiques
consécutives ; celle de la Seconde République et celle de l’époque
Franquiste, en faisant bien sûr, ressortir les caractéristiques du statut de
cette dernière. Dans un deuxième temps, elle amène le lecteur à découvrir
l’historique, l’organisation, puis l’idéologie qui fonde « l’œuvre »,
par des ouvrages biographiques, des ouvrages de témoignages. Au travers des
informations contenues dans son étude, nous voyons le travail de recherches
effectuées par l’auteure, le souci de renseigner au maximum le lecteur ;
tous ces éléments ordonnés et coordonnés dans un niveau de langue maîtrisé. La
lecture y est facile et la compréhension aisée.
La raison de ma présence à ce jury de thèse de Mlle
Clarisse Mimbuih s’inscrit sur la problématique développée dans l’évolution du
statut de la femme espagnole contemporaine. C’est une problématique qui étudie
les relations entre différentes composantes d’une même société ; mieux qui
pose le problème de la citoyenneté (Mimbuih Clarisse l’évoque à la page 76 de
sa thèse), autrement dit un citoyen est
membre d’un Etat du point de vue de ses droits et devoirs. La femme
espagnole se bat pour une prise en compte effective de ses droits et devoirs
juridiques, à l’égale de l’homme. C’est le lien que nous établissons ici avec
nos travaux, sauf qu’à Cuba la lutte est inscrite chez la catégorie
« noire ».

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire